Rêve du 12 septembre 2022

Cette nuit c’était marrant, Inception like une nouvelle fois. Je rêvais que j’étais une femme, pourquoi pas, ça me change un peu. Dans un univers assez bucolique, style prairie/fleurs toussa ( en fait en y repensant ce sont les images de Maeve dans WestWorld, ok ok ) mais quand même un peu chelou. Mais en fait le personnage, cette femme, que je suis dans mon rêve se rend compte qu’elle même est en train de rêver, et que ce n’est pas sa réalité.

Alors, elle/je me force à me réveiller dans ce rêve surnaturel pour me rendre compte qu’en fait elle/moi sommes prisonniers dans une cage faite de verre et de métal, dont la géométrie et les points de fuite me font penser que nous sommes dans une cellule enroulée autour d’un axe géant, dans un des cercles de cellules comme la nôtre, dans une forme de tambour géant qui pourrait ressembler à une machine à laver. Mais en fait, ce tambour géant recréé comme on le voit si bien dans beaucoup de films de SF une gravité, tout simplement, pour nous les hommes captifs. Car ce sont des hommes et femmes qui sont captifs, je peux en entre-apercevoir certain(e)s au travers des murs de verre de notre cellule (je dis notre, on est deux, la femme que je joue mais qui commence à être autonome, et moi, qui suis conscient de la situation assez rigolote ).

Nous sommes donc prisonniers de ces cages dans ce qui semble être un immense vaisseau spatial, contenant un ou plusieurs tambours comme celui auquel nous appartenons. Mais même si je ne les ai aperçus dans mon rêve, ni elle d’ailleurs n’a pu à priori les voir non plus, nos geôliers ne sont sûrement pas humains et dieu sait quel sort ils nous réservent. En tout cas, c’était une de nos craintes avec la femme, ils ne sont pas rendus compte que nous nous étions réveillés, et que nous étions entrain de chercher une solution pour nous échapper.

Il nous fallait elle et moi trouver une solution. Notre première étude de la cellule ne nous permet pas de trouver de faille. Nous avons alors émis l’hypothèse elle et moi que peut être un autre humain avec lesquels nous étions en rêve forcé aurait une solution. Nous nous sommes donc rendormis, pour replonger dans le rêve de cette femme et effectivement, pouvoir entamer une discussion avec les autres humains eux aussi plongés dans le même rêve. Et l’un d’eux avait une solution : Autant dans la réalité de cette femme (mais toujours dans mon rêve, hihi) cela semblait impossible, mais nos étranges extraterrestres n’avaient semble t-il pas tout envisagé, et surtout de la manière dont nous pourrions déjouer leurs sécurités une fois plongés dans le rêve dans lequel pourtant ils nous ont enfermé. Situation intéressante n’est ce pas.

Effectivement, le plan de cet autre humain (impossible de mettre un visage connu dessus, tout comme la femme d’ailleurs) nous as montré comment transcender le rêve dans lequel nous étions en train de discuter pour avoir un sorte de vision de l’extérieur du rêve, leur réalité donc, ce qui permettait de se balader absolument partout jusqu’à traverser les parois, sauter de cellule en cellule, ou s’éloigner tellement que la vision complète du tambour géant s’est enfin offerte à nous. Wouh !

Sur ce, alors que nous progressions à grand pas pour nous libérer dans ce vaisseau géant, mon réveil a sonné 7H00, la con de sa race. Avec un peu de chance, je continuerais ce rêve plus tard, comme c’est des fois le cas, dans quelques jours, mois ou années.

Bon, moralité, chuis fatigué moi ce matin avec toutes ces conneries 🙂

Prez, le 12/09/2012

Posted in Voyages intersidéraux.

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