Rêve du 30 juillet 2016

Bon. Je ne devrais pas, vraiment, mais je vous raconte quand même mon dernier rêve. Il est vraiment très con, je ne sais pas pourquoi.

Il y a eut une première partie que j’ai oublié, mais la seconde partie, à partir de 3/4H00 du matin vaut son pesant de cacahuètes. D’ailleurs je m’en souviens toujours, c’est un signe 😉

Cela se passait dans le désert, style Mexique ou un truc du coin. Nous étions des voyageurs un peu paumé, ou peut-être autre chose, en tout cas nous avions un petit campement fait de roulottes et de caravanes, limite Madmax (c’est peut être ça la référence cachée en fait). Et nous avions un système de récupération de l’eau de pluie, pas mal et assez sophistiqué. Mais une copine (que je ne nommerais pas) voulut prendre une douche, et épuisa toute l’eau du campement. Nous voila dans de beaux draps.

Mais nous savions que de l’autre coté du camp, non loin, une gigantesque falaise en pierre cachait une entrée dans laquelle nous allions pouvoir certainement trouver de l’eau. Nous sommes donc partis chercher cette fameuse ouverture avec Douglas Alves, non sans mal. Il fallut escalader quelques tas de terre et se frayer un chemin jusqu’à la falaise. Et là effectivement un immense pont levis en bois avec des pics, façon le château des Maîtres de l’Univers quoi, nous faisait face. Avec un pied de biche à la half-life, nous avons plus ou moins avec doigté réussi à ouvrir le pont levis ce qui nous permit de rentrer dans une sorte de grande grotte ou cave. En bas, dans la pénombre et sous l’eau, des cages fermées par des vieilles portes en fer à moitié rongées semblaient contenir d’étranges et grosses créatures noires, certainement mortes. Du moins nous pensions.

Car à peine nous avions trouvé le moyen d’ouvrir le sas du fond de la grotte qui retenait énormément d’eau, qu’un signal bleu s’illumina au contact de l’eau, ce qui réveilla les créatures.

Pire, en fait dans la pénombre maintenant illuminée de milles feux, la grotte sortant de sa torpeur, un grand escalier en pierre semblait s’enfoncer dans la terre et se découvrit soudain à nos yeux.

Les portes retenant les créatures dans leurs cages se soulevèrent doucement, et nous savions que nous allions y faire face rapidement. Mais l’histoire se complique quand des Chevaliers (façon Saint Seiya quoi) apparurent par le dit escalier pour contrôler visiblement les créatures dans le but évident de s’en prendre à nous. Au combat façon FF !

Là, un rapide combat se mit en branle qui fut d’ailleurs trop rapidement gagné par la partie adverse à mon goût. Le premier de nos amis du camp, qui venait de revêtir une sorte de combinaison noire de combat façon Gunnm se fit déboiter rapidement le bras gauche, ce qui le mit immédiatement hors d’état de nuire.

Le second lui, doté d’un pouvoir de regénération utilisant le sable (ne me demandez pas pourquoi) fut pris à parti par un des chevaliers qui le tenant par la tête, lui fit bouffer d’un mouvement très rapide tous les barreaux des cages des créatures, le mettant aussi hors d’état de nuire aussi. La loose.

Mais je pense que le point d’orgue de ce combat fut atteint lorsqu’une des filles du campement (avec le visage de la nouvelle Wonder Woman), fut prise à partie et commença à perdre l’avantage rapidement.

Alors, à ma grande surprise, celle-ci, les larmes aux yeux, mis sa main sur son sein droit, et commença à le remonter au dessus de son épaule. Pourquoi ? Parce que le sein se transforma en une forme de ballon rond qu’elle a pu lancer par delà les barreaux d’une des cages, au bout de laquelle une ouverture visible allait permettre à ce drone de sortir et d’aller chercher de l’aide…

Je me rappelle de tout cela parfaitement bien, surtout de la dernière scène, car une fois encore j’étais conscient à l’intérieur de mon rêve, et j’avais vraiment hâte de comprendre ce qu’allait faire la fille avec son sein, posté en tant que spectateur alors que le combat faisait rage. C’est drôle 😉

Promis, demain je continue avec des rêves de barge 😉

Prez, le 30/07/2016

Posted in Voyages intersidéraux.

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