Alors là tu voies, je t’explique mon rêve d’hier, tellement c’était n’importe quoi.
Au début, je ne sais plus trop ce qui se passait, mais la seconde partie est plus claire et plus intéressante. Nous nous retrouvions avec divers compagnons à courir d’une scène quelconque de gamins qui fuyaient l’école (la scène précédene de mon rêve en partie oubliée), ou quelque chose d’approchant. J’étais pour ma part un de ces gamins et en main une jolie petite brune au visage relativement inconnu mais très jolie (analyse à froid : un mélange de plusieurs exs je suppute), fuyant à travers la prairie dans un décor à la Tom Sawyer. Nous étions en train de courir main dans la main façon Ico, c’était en soit très romantique et kawaii.
Comme nous fuyions, il nous fallait bien une destination. La map se dessinant devant nous nous semblait finalement familière. Un panneau avec une carte de l’île façon Zelda sur laquelle nous étions, nous permit de déterminer notre destination : Le Sanctuaire de Saint-Seiya, sisi. L’île elle-même, dont la forme emprunte de divers JRPGs dessinait un crocodile géant, mesurait à vue d’œil plusieurs kilomètres de long, et un marécage se situait entre nous et notre but. D’ailleurs à ce stade, j’en veux à mon esprit, car en fait en nous approchant du but, tout en courant avec ma belle petite brune en main, le lieu s’affinait en terme de définition pour devenir non pas le Sanctuaire attendu mais le monastère de Candy ! Ah ben non ! J’ai vite corrigé le tir, je veux mon Sanctuaire non mais !
Alors, nous sommes arrivés sur place, une espèce de grande citadelle un peu comme l’intro d’un FF 10 ou 11, avec un immense portail qui dressait ses hauteurs vers le ciel, qui était en fait et comme une fois de plus dans un FF une arène dans laquelle les Chevaliers s’entrainaient, bien évidemment. Mais il y avait un décalage évident entre ce dont nous nous souvenions la belle et moi, et la réalité.
Nous avions atteint notre but en même temps que nous comprenions ce que nous faisions ici : Nous étions nous aussi des chevaliers, elle Athéna plus précisément, et moi Seiyar évidemment, mais le décalage que nous avions devant les yeux concernant l’évolution du Sanctuaire ne pouvait être lié qu’à une seule chose : le temps. Nous étions en fait la réincarnation de ces deux personnages mythologiques, bien des générations plus tard.
En découvrant la vérité, nous nous sommes effondré en larmes elle et moi, tellement c’était magnifique, tellement c’était évident. A ce moment là, l’aura d’Athena commençait à illuminer la place et nos corps. Mon armure d’or commençait également à apparaître, celle du Sagittaire bien sûr, ce qui nous affirma que nous avions raison. Je me suis réveillé à ce moment là, les larmes aux yeux…
La drogue, c’est mal ! Mais qu’est ce qu’on rigole
Prez, le 20/09/2015