Ah !
De retour dans le Sud après une semaine très intense aux cotés de tous mes poulets et poulettes favoris pour ouvrir le Musée du Jeu Vidéo, je me repose enfin auprès de ma famille. Et cette nuit, j’ai fais des rêves très enrichissants… ahem. Mais je suis bien fatigué, ce coussin Mario acheté au Musée pour ma fille Sophie n’est pas un bon oreiller ! ![]()
Je crois que le premier se situait au Musée justement, et celui-ci avait une configuration très particulière puisqu’il était joint par une forme de puces& brocantes qui doit figurer après analyse les brocantes de Montpellier, que je décris souvent en interview ou conférence comme étant un parterre immense de machines anciens éventrées à même le sol (ce qui est vrai au passage bien sûr). J’y trouvais encore des matériels anciens à protéger, diantre, cela ne s’arrête jamais en fait ![]()
(Analyse : ça c’est un pont mémoriel rapide de ma carrière de conservateur amateur du patrimoine, du commencement à la consécration )
Le second était la continuité du premier. Nous étions tous ensemble, membres et famille toujours dans notre musée, qui était abrité dans un immense bâtiment plutôt sombre et bleu. Mais je remarque qu’une aile un peu lointaine est bardée d’enseignes et qu’une exposition a lieu là bas, sur le thème de la musique et des instruments de musique. Sur place, curieux que je suis et voulant visiter, je suis accueilli par des têtes connues qui me reconnaissent et me guident dans l’exposition mêlant art, instruments et musique, assez magique comme exposition.
(Analyse : Coucou Jean Zeid et Fanny Rebillard pour l’exposition Musique&Jeux vidéo à la Philarmonie !)
Le troisième était la suite du second, je déambulais encore dans l’exposition sur la musique qui elle aussi se transformait petit à petit en allées de puces&brocantes. Ici et là, je voyais des affaires et objets liés à la culture japonaise. Un vendeur et certainement sa femme vantait les mérites du t-shirt que portait cette dernière, fort mignonne, avec les couleurs du japon (le drapeau quoi). Je commentais à l’invitation à acheter le dit t-shirt que la fille était bien plus mignonne que ce qu’elle portait. Mais me sentant un peu honteux, j’ai le commentaire élogieux un peu facile devant la beauté des femmes en général, je passais vite mon chemin pour passer à autre chose.
Plus loin, les puces donnait sur une petite échoppe japonaise typique, un peu délabrée, dans laquelle de nombreuses pièces de bornes d’arcade Sega se baladait mais dans un état déplorable, souvent souillées par la mer ou je ne sais quelles inondations. Irrécupérables, et souvent à des prix trop élevés même en Yens, je râlais de ne pouvoir rien en tirer, rien à sauvegarder. Ma femme me tira par les bras pour que je quitte cet endroit, qui ressemblait bien plus finalement à un cimetière pour items précieux qu’à autre chose. Les puces se transformait maintenant en un début de village de type médiéval, avec des porches très en hauteur.
(Analyse : C’était pour toi Arunotaku les pièces Sega et la collection Doumayrou ! haha !)
Le quatrième et dernier dont je me souvienne reprend donc où j’en étais à la sortie des puces. Je rentrais bien dans un village médiévo-fantastique qui était l’extension des puces précédentes. Il y avait des affaires, pas tant de micros ou consoles d’ailleurs, mais vraiment de tout, du sol au plafond, jusque dans des alcôves planquées en haut à plusieurs mètres de hauteur. Désirant les atteindre, je me suis souvenus de mes anciens rêves, quand j’étais gosse, vers 10 ans je pense, où je pouvais voler en me concentrant énormément. J’ai passé près de 40 ans à améliorer mon vol dans mes rêves
Si quand j’étais jeune, le vol était très compliqué et vraiment très fatigant, maintenant que je suis bien plus expérimenté, c’est bien plus facile. L’énergie nécessaire sortit facilement de mes bras et poings, et je m’élevais avec une certaine facilité du sol, pour atteindre les objets hors d’atteinte autrement. En faisant un peu le tour de la cour dans laquelle j’étais et des multiples portes qui contenaient moults choses, j’aperçu une figure connue : Nathalie Kosciusko Morizet était là avec un de ses conseillers politiques. Comme nous nous connaissions, et que si elle se baladait ainsi sur cette place, c’est qu’elle devait chercher quelque chose. J’entrepris donc de redescendre pour lui vendre les mérites de ce qu’avais trouvé plus haut.
(Analyse : en fait c’était les puces de Saint-Ouen quoi, et NKM c’était sa rencontre aux portes de la Cité des Sciences il y a bien longtemps, pour lui vendre les mérites de notre projet de musée justement !)
Il doit y avoir au milieu de tout cela un bout de rêve avec des méchas, mais je ne m’en rappelle plus trop pour l’instant, ça me reviendra peut être ?
Bref, c’est trop tard pour arrêter la drogue et la préservation des vieux trucs ![]()
Bises, Prez qui va mieux ![]()